C’est une piste souvent arpentée ces dernières années. Située en bordure de gardon, elle devient peu à peu un simple sentier, et joint permet la jonction de deux hameaux isolés. C’est toute la beauté de ces campagnes cévenoles, que l’eau a façonné durant des milliers d’années, que j’ai tenté ici de mettre sur toile. La tableau mesure 27 x 22 cm et a été peint à l’huile, d’une traite, d’après photo. La pâte est épaisse, les contrastes francs. L’œuvre, toute imparfaite qu’elle est, demeure agréable à regarder.
Étiquette : peinture
Au matin du monde
« Au matin du monde »
Acrylique sur toile
1 x 1 m
Je ne saurais en dire mieux que ce que dit Monsieur ChatGPT à son sujet : « Ce tableau, vibrant de couleurs et de vie, représente une forêt en pleine floraison. Les troncs d’arbres, peints dans des nuances vertes vives, se dressent majestueusement sur un fond terreux. Les branches, délicatement ornées de touches roses et jaunes, évoquent la beauté éphémère du printemps. L’ensemble crée une atmosphère à la fois apaisante et énergisante, capturant l’essence de la nature en pleine renaissance. Cette œuvre, à la fois abstraite et évocatrice, invite le spectateur à se perdre dans la profondeur et la richesse des couleurs et des formes. »
Souvenir imaginaire de paysage, inspiration prise chez Van Gogh
Comment peindre la Nature après que Van Gogh lui ait donné à sa façon ses plus belles lettres de noblesse ? La tâche est ardue… C’est que son style a révolutionné la représentation paysagère. Ses touches alambiquées et soignées, maniaques pourraient-on dire, amène par leurs circonvolutions, une écriture particulière de l’image : ainsi la représentation s’enrichie, le sujet s’anime, comme si des fées venaient caresser les objets et les formes.
Dans ce petit panneau de bois peint à l’huile, j’ai souhaité représenté un paysage que j’aime particulièrement et où je vais me promener au moins une fois par mois. Situé dans la Bévéra, une ascension tonique parmi les hauts arbres de ce profond vallon, m’amène à m’extraire à l’ombre de la forêt afin d’arriver à des plateaux herbeux où je rencontre régulièrement des biches. Avant d’arriver là, le chemin longeant la pente s’extrait des arbres en direction du sud, le paysage s’éclaircit et laisse apparaitre le ciel, alors que quelques arbres accompagnent cette transition.
J’ai donc imaginé ce lieu dans une fin de jour très contrastée. Ici le ciel est d’un lapis-lazuli profond tandis que l’herbe est d’un vert franc, mais dans mon souvenir l’herbe était sèche et le ciel très clair et légèrement brumeux.
Un tableau impressionniste ?
Hier vendredi soir, en fin de soirée, tournant relativement en rond dans cette partie d’atelier où j’affectionne de peindre des tableaux plus grands, une toile vierge m’observait. « Hey ! Tu vas me laisser nue ainsi longtemps ? » semblait-elle me dire. Porté par la légèreté que m’avait offerte un petit verre de vin blanc, je sortais de leur bac humide deux gros pinceaux et m’attelait à représenter le premier paysage qui me viendrait en tête. Arbres à l’honneur et ambiance nocturne au programme ! Tout ce que j’aime…
Une nouvelle peinture à l’huile
Ce soir j’ai passé un peu de temps à pratique la peinture à l’huile. Concernant le choix du sujet, je suis allé au plus proche : j’ai choisi les trois pots qui se trouvaient sur la table, contenant pour l’un du white spirit me servant à nettoyer mes pinceaux, et pour un autre de l’huile de lin. La touche ici est rapide, brute, et donne un aspect spontané et cru à l’ensemble.
La piste en hiver, une nouvelle peinture sur le motif
Je m’étais initié il y a quelques jours à la peinture sur le motif, en extérieur, sur le lieu même à représenter. L’expérience avait été marqué par un certain froid glacial qui régnait à cette altitude en cette saison. Ayant goûté l’exercice, je m’y suis à nouveau adonné le week-end dernier. Le froid était encore plus intense ! La neige partout alentours, bien que je trouvai un tronc abattu au milieu de la piste, qui n’était pas recouvert de neige. Posé là pendant presque deux heures je représentais avec mes pinceaux et ma peinture à l’huile rendue épaisse par la température, la piste et les arbres qui la bordaient. En voici le résultat.
Un peu de peinture sur le motif
Peindre in situ, au beau milieu de la Nature que j’apprécie tant, peut paraitre difficile au premier abord. Et soyons francs : ça l’est ! Ce n’est pas que la technique soit différente pourtant, c’est surtout que la météo, le confort et l’incomplétude du matériel transporté rendent la chose plus délicate. Peindre ainsi en hiver par exemple, qui plus est sur de hauts sommets comme c’est ici le cas, expose au froid. Au bout d’une heure de pratique, je peux vous garantir qu’il a commencé à vous gagner les os ! Mais le plaisir est là, qui ne vous laisse pas percevoir le temps qui passe, ni les calories qui s’en vont…
Portrait d’Angélique Marçais
La comédienne Angélique Marçais, qui m’a très gentiment prêté de son temps à l’occasion de mon projet « Une Théorie Naturelle », s’était prêté à une séance de photographies qu’il me tardait de mettre en valeur. C’est maintenant au moins en partie chose faite, puisqu’un de ses portraits, réalisé les pieds dans l’eau claire d’une rivière de montagne, la nymphe très délicatement éclairée par les rayons d’un doux soleil passant entre les feuilles des arbres alentours, vient d’être déclinée en peinture. Le tableau, peint à l’huile, la représente adossée sur une des parois de la rivière.
Portraits de Coprins
Une nouvelle peinture à l’huile, un tableau champêtre : le portrait de Coprins. Ces champignons poussent en grappe, et dans le cas présent au pieds de la souche d’un arbre mort. C’est une assez ancienne photo qui m’a servi pour réaliser cette toile, et je suis assez satisfait du résultat. Elle m’a par ailleurs servi à tester un glacis hollandais qui donne un agréable effet vitré et ambré à l’œuvre.
Une nouvelle peinture à l’huile
Après les autoportraits, il me fallait un autre sujet. J’ai donc fait le tour de mon atelier en cherchant quoi que ce soit qui puisse être pittoresque et agréable à l’oeil. Pas si simple… mon panier à fruits était vide, mes légumes engloutis, ne me restait dans les placards qu’une maussade boite de cassoulet. Pour le reste, un fouillis garni d’un bric à brac, je n’y voyais rien d’intéressant. Sauf… sauf ma cafetière italienne donc les beaux reflets dépolis m’intéressaient. Et voilà donc ce petit tableau qui en issit (verbe issir, ancien français).
Un second autoportrait, ou comment saisir la lumière en peinture
Voici un second autoportrait, réalisé peu de temps après le précédent. Des coups de pinceaux plus rapides, directs, placés sur la toile sans dessin préparatoire, permette d’obtenir un effet plus graphique. Pour réussir cet effet « d’ébauche », il faut savoir s’arrêter à temps et ne pas vouloir aller trop dans le détail…
Un peu de peinture à l’huile, un autoportrait
La période est propice à une reprise de la peinture à l’huile que j’ai mis de côté bien trop longtemps. Après mes récentes natures mortes, les portraits de champignons, voici le portrait d’un autre type de bestiole : moi-même ! Le choix du sujet interroge certains, auquel ils prêtent beaucoup de « mauvaises » intentions, narcissiques ou pas. La question n’est pas là : avec ce type de sujet, le risque de tomber sur un modèle qui rechignera ensuite à apprécier le travail ou à voir ce dernier exposé s’estompe ! C’est donc une certaine « facilité administrative » qui me pousse à peindre ma tronche.
Une nouvelle peinture à l’huile : un portrait de Sanguins
Voici une nouvelle toile dans la série de mes Portraits de Nature : une peinture à l’huile représentant un certain type de champignons très appréciés des promeneurs, à savoir un portrait de Sanguins !
Portrait de Mûres
Ce tableau, une peinture à l’huile représentant une grappe de mûres que j’ai prise en photos il y a des années maintenant, inaugure une nouvelle série intitulée les « Portraits de Nature« à propos duquel vous pourrez obtenir des informations en cliquant sur ce lien. La représentation de scènes naturelles, la peinture de natures dîtes « mortes » (ici pour le coup des Natures (pas) mortes), affirme mon souhait de remettre l’émotion au coeur du tableau.
Un tableau sur Nice et la Baie des Anges
Le Chat Rose se délasse assis sur une des fameuses Chaises Bleues de Nice, posté sur un des balcons fleuris du Château, et regarde sereinement Nice et la Baie des Anges. Une peinture à l’acrylique sur toile en date de 2022.
Vous pouvez acheter ce tableau en cliquant sur ce lien, ou sur l’image.
Souvenir de Fac : le tableau est terminé !
Voici une photo du tableau « Souvenirs de Fac » terminé. Cette peinture à l’acrylique sur toile et feutre acrylique a été livré à un client collectionneur heureux. Je tiens à le remercier ici à nouveau pour sa confiance et pour la liberté qu’il m’a offert quant à l’interprétation du thème : « fais-moi un Chat Rose qui se lâche ».
Timelapse intégral de mon tableau « Souvenirs de Fac »
Vous vous souvenez de mon tableau « Souvenirs de Fac » ? J’avais posté au fur et à mesure quelques vidéos accélérées de la peinture de celui-ci. Et voilà qu’aujourd’hui l’œuvre est terminée et livrée ! Il ne me restait qu’a concaténer toutes ces vidéos pour en faire une intégrale montrant l’évolution de la peinture du début à la fin. Cinq minutes de film et des milliers de coups de pinceaux…
SuperVax, une acrylique sur toile réalisée pour un ami médecin
Je suis heureux de vous présenter « SuperVax« , une petite toile 20x20cm réalisée spécialement pour un ami médecin. Il est rappelé ici que je peux réaliser à la commande ce genre de petits tableaux, ils sont toujours très appréciés, pour faire un cadeau ou tout simplement pour décorer chez soi. Découvrez les autres petits tableaux disponibles sur : www.jeremy-taburchi.com.
Saturne dévorant son fils, le Chat Rose façon Goya
Voilà une toile à laquelle je m’affaire en ce moment. Originellement le dessin qui en est à l’origine est né de la demande d’un ami collectionneur qui m’avait demandé de lui proposer une série de dessins sur le thème du Covid lors du premier confinement de mars 2020. Imitant le célèbre tableau de Francisco de Goya « Saturne dévorant son fils », on y voit le Chat Rose en train de dévorer le virus. Chacun pourra y lire comme il le souhaitera son interprétation…
Timelapse sur peinture du Chat Rose
Une petite vidéo accélérée de ma peinture en cours : « Souvenir de fac », un recueil des supposés paradis artificiels auxquels s’adonnent bon nombre d’étudiants. Ce grand tableau de 120x120cm, réalisé entièrement à l’acrylique, est une commande d’un collectionneur niçois. Un grand merci à lui.