La période est propice à une reprise de la peinture à l’huile que j’ai mis de côté bien trop longtemps. Après mes récentes natures mortes, les portraits de champignons, voici le portrait d’un autre type de bestiole : moi-même ! Le choix du sujet interroge certains, auquel ils prêtent beaucoup de « mauvaises » intentions, narcissiques ou pas. La question n’est pas là : avec ce type de sujet, le risque de tomber sur un modèle qui rechignera ensuite à apprécier le travail ou à voir ce dernier exposé s’estompe ! C’est donc une certaine « facilité administrative » qui me pousse à peindre ma tronche.