Après les autoportraits, il me fallait un autre sujet. J’ai donc fait le tour de mon atelier en cherchant quoi que ce soit qui puisse être pittoresque et agréable à l’oeil. Pas si simple… mon panier à fruits était vide, mes légumes engloutis, ne me restait dans les placards qu’une maussade boite de cassoulet. Pour le reste, un fouillis garni d’un bric à brac, je n’y voyais rien d’intéressant. Sauf… sauf ma cafetière italienne donc les beaux reflets dépolis m’intéressaient. Et voilà donc ce petit tableau qui en issit (verbe issir, ancien français).