Hier vendredi soir, en fin de soirée, tournant relativement en rond dans cette partie d’atelier où j’affectionne de peindre des tableaux plus grands, une toile vierge m’observait. « Hey ! Tu vas me laisser nue ainsi longtemps ? » semblait-elle me dire. Porté par la légèreté que m’avait offerte un petit verre de vin blanc, je sortais de leur bac humide deux gros pinceaux et m’attelait à représenter le premier paysage qui me viendrait en tête. Arbres à l’honneur et ambiance nocturne au programme ! Tout ce que j’aime…