C’est une piste souvent arpentée ces dernières années. Située en bordure de gardon, elle devient peu à peu un simple sentier, et joint permet la jonction de deux hameaux isolés. C’est toute la beauté de ces campagnes cévenoles, que l’eau a façonné durant des milliers d’années, que j’ai tenté ici de mettre sur toile. La tableau mesure 27 x 22 cm et a été peint à l’huile, d’une traite, d’après photo. La pâte est épaisse, les contrastes francs. L’œuvre, toute imparfaite qu’elle est, demeure agréable à regarder.
Étiquette : paysage
Un tableau que j’aime particulièrement
Sans titre
« Cette œuvre, née sous l’inspiration d’un bon verre de vin blanc, capture un monde où la réalité se mêle à l’imagination. Les troncs d’arbres, d’un rose presque irréel, semblent s’étirer vers un ciel tourbillonnant de bleus et de violets, créant une ambiance à la fois onirique et intense. Les coups de pinceau, spontanés et expressifs, donnent vie à une forêt enchantée, où les formes et les couleurs dansent en harmonie. L’influence du vin ajoute une touche de liberté et d’audace à la composition, permettant à l’artiste de s’évader des conventions pour plonger dans un univers plus profond et intuitif.«
Merci à l’IA pour ce texte très adéquat.
La piste en hiver, une nouvelle peinture sur le motif
Je m’étais initié il y a quelques jours à la peinture sur le motif, en extérieur, sur le lieu même à représenter. L’expérience avait été marqué par un certain froid glacial qui régnait à cette altitude en cette saison. Ayant goûté l’exercice, je m’y suis à nouveau adonné le week-end dernier. Le froid était encore plus intense ! La neige partout alentours, bien que je trouvai un tronc abattu au milieu de la piste, qui n’était pas recouvert de neige. Posé là pendant presque deux heures je représentais avec mes pinceaux et ma peinture à l’huile rendue épaisse par la température, la piste et les arbres qui la bordaient. En voici le résultat.
Un peu de peinture sur le motif
Peindre in situ, au beau milieu de la Nature que j’apprécie tant, peut paraitre difficile au premier abord. Et soyons francs : ça l’est ! Ce n’est pas que la technique soit différente pourtant, c’est surtout que la météo, le confort et l’incomplétude du matériel transporté rendent la chose plus délicate. Peindre ainsi en hiver par exemple, qui plus est sur de hauts sommets comme c’est ici le cas, expose au froid. Au bout d’une heure de pratique, je peux vous garantir qu’il a commencé à vous gagner les os ! Mais le plaisir est là, qui ne vous laisse pas percevoir le temps qui passe, ni les calories qui s’en vont…