La comédienne Angélique Marçais, qui m’a très gentiment prêté de son temps à l’occasion de mon projet « Une Théorie Naturelle », s’était prêté à une séance de photographies qu’il me tardait de mettre en valeur. C’est maintenant au moins en partie chose faite, puisqu’un de ses portraits, réalisé les pieds dans l’eau claire d’une rivière de montagne, la nymphe très délicatement éclairée par les rayons d’un doux soleil passant entre les feuilles des arbres alentours, vient d’être déclinée en peinture. Le tableau, peint à l’huile, la représente adossée sur une des parois de la rivière.